Fustier, 1889 : Argot théâtral. Acte premier, deuxième, troisième, etc. d’une pièce.
À partir du quatre, mademoiselle Sarah Bernhardt est supérieure à elle-même.
(Événement, 1882)
Il suffit d’obtenir un engagement de M. Montrouge et de venir annoncer à la fin du deux que le dîner est servi.
(Événement, 1881)
C’est le deux, le trois, qui marche. C’est le deuxième, le troisième acte que l’on joue.